tremoille

La photo de mon précédent article résume un de mes plaisirs favoris...
Il est 21.30. Préparation à une nouvelle séance. Je me mets nu, et j’éprouve aussitôt un sentiment diffus (pas raisonné) mais très direct de transgression et de liberté. Le rituel ne saurait se passer du string ; il est étriqué, conçu pour une chatte de femme et ne peut contenir complètement ma queue et mes couilles même au repos. Cela participe de la transgression, comme l’appropriation d’un fétiche féminin dans le but unique de jouir. Je cale la ficelle dans la raie des fesses et je m’ajuste au plus serré, sachant que dès les premiers signes d’excitation, le gland émergera de la dentelle. Le string doit être positionné assez bas sur le ventre de façon à laisser les poils passer au-dessus. Ce moment est symboliquement le vrai début de la séance. Je peux, à la rigueur me passer des bas et du porte-jarretelles mais pas du string. Je commence mon installation. Ça se passera sur le lit, dans la chambre, la caméra est montée sur pied pour surplomber la « scène ». Je m’équipe, PJ et string. Bas un peu difficiles à agrafer (manque d’habitude...) Trouver le plan juste, serré sur mon ventre pour capter la queue dressée dans la dentelle noire. Je me branle doucement. Je dois trouver la juste distance pour ne pas jouir trop vite. Je prends position exactement sous la caméra pour me branler en GP serré. J’ai l’envie irrésistible de me finir maintenant. Je m’appuie sur un coude, je positonne ma queue afin qu’elle crache sur ma cuisse. Ça vient vite. Jet plus copieux qu’espéré après la branlette de ce matin au réveil. Je souffle. Je suis à bout de souffle. Ces séances sont jouissives et trop courtes.

22.00. Je visionne les images à la caméra. Ambiance un peu clandé (sous-éclairée) qui ajoute au côté sexe de l’affaire. Je bande plus mou que je ne le pensais. Mais assez bien pour que cette queue dressée et manipulée au-dessus des bas et sous la barre du PJ me fasse assez plaisir à voir.
Je ne me lasse pas de me voir me masturber. Cela m’excite comme si c’était un autre, étrange dédoublement du voyeur-acteur, ma main étant comme autonome et branlant un mec qui n’attend que cela : moi. Depuis que je me photographie et me filme, j’aime voir ma queue dressée veines gonflées à la fois par l’excitation et le cockring, et plus la bite est imposante (GP oblige), plus je suis spectateur d’un porno dont je seras l’unique protagoniste. Et ma queue, quand elle sort tendue d’un string est une image qui résume mon plaisir de ce moment-là. Envie d’être branlé par un(e) autre.